Pour l’amour du journalisme audiovisuel, c’est ce qui peut définir le parcours de
Hana Ghezzar Bouakkaz dans l’univers du média audiovisuel au cours de ces dernières années. Féministe dans l’âme, cette ancienne directrice de magazine algérienne est aujourd’hui l’une des chroniqueuses vedettes embrassant deux mondes, deux cultures. Dans cet article, nous allons vous parler de l’émission phare qu’elle anime sur IRM.Radio, « Le shot des cultures », une émission qui traite les différences culturelles abordées sous un autre angle.
Shot des cultures, une autre manière de voir les choses
Dans une ambiance jeune, détendue, et où les femmes ont leur place, Hana Ghezzar Bouakkaz est devenue la figure emblématique de l’émission « Le Shot des cultures » diffusée sur IRM.Radio. Grâce à son talent et sa perspicacité, cette chroniqueuse surnomée « La Claire Chazal Arabe » possède une grande aisance à traiter différents domaines avec ses invitées, hommes ou femmes.
C’est certainement l’une des raisons pour laquelle cette émission est l’une des plus écoutées en France mais aussi au Magrheb et dans d’autres pays francophones. Ayant interviewée plusieurs personnalités célèbres très connues du publique, elle se retrouve dans son élément dans l’émission « Le Shot des cultures » où elle aborde des thèmes et des phénomènes de société qui ne sont pas traités dans la presse traditionnelle.
Des chroniques engagées, pour la sensibilisation des auditeurs
Dans son émission « Le Shot des cultures », Hana Ghezzar Bouakkaz ne parle pas uniquement des évènements culturels ou artistiques, elle dénonce les différentes formes de discrimination comme la glottophobie qui est une forme de discrimination très répandue actuellement. Elle n’hésite pas à mettre en avant les problèmes de corruption dans les universités de renommés internationales et au cours de ces dernières semaines, l’émission touche également les influenceurs sur les réseaux sociaux afin de proposer des partages et des entre-aides.
Si Hana Ghezzar Bouakkaz est devenue une chroniqueuse engagée et militante en accordant un point d’honneur à des principes et des valeurs morales uniques, c’est grâce à son parcours professionnel. En effet, avant d’entamer une carrière dans l’univers du journalisme et de l’audiovisuel, elle était un fervent membre de l’ONG algérienne, le ness el khir Oran. Elle participait à la collecte des fonds pour l’organisation. C’était une expérience qui lui a permis de développer cette sensibilité et cette approche pragmatique lorsqu’il s’agit de défendre les opprimés et de partager des idéaux visant à rendre le monde beaucoup plus meilleur.
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